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Jumelages

Villa di Bivigliano

d’où partit l’ancêtre Uliviero del Bianco en 1600 pour Avignon et Sorgues.

Château de Lamassas

où naquit en 1752 Gérard Lacuée, le futur général de Cessac, qui prit sa retraite à Sorgues.

Cette Villa toscane (à une demi-heure de voiture de Florence), construite au 17ème siècle, a un jardin sobre et élégant, donnant sur un paysage encore intact, et un parc boisé doté d’une grotte artificielle de 1690. Dans son voisinage immédiat, l’église San Romolo (fondation du 11ème siècle), où fut baptisé Uliviero del Bianco en 1582 et, sur une hauteur, le monastère Monte Senario visible depuis Florence. Propriété depuis plus d’un siècle de la famille Pozzolini, celle-ci y reçoit pour des mariages à la belle saison. 

Site : www.villadibivigliano.it

Email : info@villadibivigliano.it

Tel : 0039 3351368989

Ce château 18ème, aujourd’hui magnifiquement restauré, est la propriété de la famille Salmon-Legagneur qui y a aménagé deux chambres d’hôtes et un gîte d’étape. A proximité, la ville d’Agen et la vallée du Lot.

Site : www.lamassas.fr

Email : lamassas@free.fr

Tel : 0619835775

Jardin de Jeanne d’Arc (Pondichéry, Inde)
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Le Jardin de Jeanne d’Arc à Pondichéry (Inde) a été dessiné par la paysagiste Mariachiara Pozzana, de Florence (Italie), à l’initiative des Amis du Patrimoine Pondichérien et de son président, Charles-Hubert de Brantes, avec le soutien de la Fondation des Vieilles Maisons Françaises. Situé entre l’église Notre-Dame-des-Anges et la Baie du Bengale, ce jardin a été conçu sur le principe d’un cloître à ciel ouvert, propice à l’accueil, à la méditation et aux célébrations. Il a été inauguré le 8 février 2020.

Site

PONDICHERY, LA RENAISSANCE D’UN JARDIN

Un film de Shawn Corell et Charles H. de Brantes (34', 2020)

A Pondichéry, cette ville indienne franco-tamoule devenue aujourd’hui cosmopolite, un jardin est né autour d’une statue de Jeanne d’Arc… Un projet mené par les Amis du Patrimoine Pondichérien et la Fondation Vieilles Maisons Françaises, une aventure humaine où les talents locaux et européens se sont retrouvés, et un film qui saisit l’expérience éphémère de sa réalisation pour en révéler l’inspiration, les étapes… et l’esprit qui souffle à travers ses feuillages.

 

«Au commencement, le jardin était un espace vide ouvert sur la mer avec au milieu une statue de Jeanne d’Arc et quelques arbres solitaires... Le projet était de donner à Pondichéry un nouvel espace pour le repos et la méditation entre l’église

Notre-Dame-des-Anges et la Baie du Bengale. Comme dans la tradition des jardins indiens et persans, les lignes du jardin se croisent sur le point central de la statue, entouré d’un bassin d’eau très bas. Un plan qui respectait en même temps le dessin du jardin original. Notre travail a donc été de restaurer et de créer, chercher à retrouver l’identité d’un lieu, ou essayer de rendre visible l’invisible.»
(Mariachiara Pozzana, architecte-paysagiste)

Sur les traces du dialogue ouvert par Jules Monchanin, Henri Le Saux, Bede Griffiths et Pierre Ceyrac…

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